Pourquoi travailler en Roumanie ?
Pourquoi travailler en Roumanie ?
En 2019, environ 97 000 postes sont restés vacants dans les entreprises roumaines. Pour pallier ce déficit, le gouvernement roumain a autorisé les entreprises à recruter près de 30 000 travailleurs étrangers, hors UE. Il y a donc des emplois à pourvoir sur le territoire roumain !
La Roumanie présente de nombreux atouts pour qui cherche à découvrir une nouvelle culture par le travail, tout en restant dans l'Union européenne.
Grâce à de bonnes relations commerciales avec les autres pays d'Europe, la Roumanie a réussi à développer son économie de manière croissante depuis son entrée dans l'Union européenne en 2007 et son économie se rapproche désormais de celles de ses voisins.
Une situation économique enviable
En 2020, la Banque mondiale classe la Roumanie dans la catégorie des pays à revenu élevé, grâce à un revenu national brut atteignant 12 600 dollars en 2019. En 2017, grâce au dynamisme de la consommation des ménages, la Roumanie affiche le 2e taux de croissance le plus élevé de l'UE, soit 6,9 %. (Source : Ministère de l'Économie, des Finances et de la Relance).
Cependant, avec de nombreuses entreprises internationales implantées en Roumanie, le pays attire beaucoup d'expatriés, d'investisseurs et d'entrepreneurs étrangers, et notamment français. En effet, la communauté d'affaires franco-roumaine, Franco-jobs regroupe plus de 550 entreprises et génère environ 125 000 emplois.
Un pays membre de la francophonie
Depuis 1993, la Roumanie est membre de la francophonie et comptait près de 4 756 100 locuteurs français en 2010. Cette situation rend l'adaptation au pays plus facile pour les ressortissants français.
De plus, si vous voyagez en famille, sachez que la Roumanie compte pas moins de 60 lycées à sections bilingues françaises dans tout le pays. À Bucarest, il existe deux établissements français : le lycée français « Anna de Noaille » qui accueille des élèves de la maternelle à la terminale et l'école française « Pitesti-Renault » fréquenté par des élèves roumains et français.
Le français est la deuxième langue apprise dans l'enseignement après l'anglais et l'Institut français dispose de trois antennes dans le pays et s'appuie sur cinq Alliances françaises.
